~~LES SEPTANTES Remarquable analyse de Luc Ferry Athènes et Jérusalem tant il est vrai que l’Occident i a fondé sa légitimité sur le concept du rationalisme héritage d’Athènes. Il n’en n’est pas moins vrai que Jérusalem en y ajoutant la spiritualité divine a fini par réaliser ce que nous appelons la civilisation judéo chrétienne/ Mais là n’est pas mon propos. A l’époque où Athènes occupait Jérusalem les philosophes Grecs convaincus qu’une société raisonnable ne pouvait se confondre avec ce qui leur paraissait comme un concept irrationnel comme la torah. Les débats entre les philosophes et les savants de la torah laissant apparaître cette contradiction entre les deux concepts, contradiction retenue par Luc Ferry les politiques grec décident d’astreindre à résidence les savants de la torah au nombre de soixante dix sept avec interdiction de sortir et de parler à qui conque avec obligation d’établir un texte de la torah conforme au rationalisme grec en sorte un texte ayant un début et une fin. Au bout d’un certain nombre de mois soixante dix les savants les rabbins d’Israël rapportent leur copie. Etrangement soixante dix de ces rabbins on établi séparément des textes identiques en tout point. Ce sont s les septantes le texte de la torah que nous connaissons aujourd’hui et que nous lisons dans nos synagogues actuelles. Les sept autres rabbins ont rendu chacun une version fifférente. Par principe la torah pose le principe de la continuité de la vie et que si le monde n’a pas de début il n’est pas question que la torah ait une fin. Afin de conserver ce principe essentiel de la torah les juifs ont créé le jour de semha torah. Tout au long de l’année le samedi nous lisons un passage de la tora. Nous terminons la lecture de tout le texte le jour de semha torah et nous poursuivons notre lecture par le début du texte. Il est indéniable que la philosophie grecque accompagnée d’une spiritualité divine judéo chrétienne a fait ma grandeur de la civilisation occidentale, le rationalisme exclusivement économique sonne le glas de sa fin. l.
