La leçon de Droit de Politique et de diplomatie de Poutine
L’ordre et la paix internationaux se conçoivent selon un droit international qui règle les relations entre nations et une chartre de l’ONU qui établit l’indépendance des nations et de leur gouvernement.
Les conflits surgissent lorsque une ou plusieurs nations aussi puissantes soient-elles s’autorisent en toute illégalité à porter atteinte à l’indépendance d’une nation ou se son gouvernement au mépris du droit international.
Il n’est pas niable que les interventions engagées par les Etats Inis l’UE et l’ONU en Afrique et au Moyen Orient n’ont pas été la conséquence d’infractions au droit.
Il n’est pas niable non plus que les interventions des occidentaux en Côte d’Ivoire en Tunisie en Egypte en Libye en Syrie nations et gouvernements entretenant des relations d’amitié avec l’occident au motif d que leur régime politique mettait en danger la paix.
En fait de paix l’Occident a installé le désordre la l’anarchie et remplacer des gouvernements amis par la haine la plus lourde que l’humanité n’ait jamais portée : la violence de l’internationale de la terreur islamique.
La question se pose donc de savoir si la parole du Président des Etats-Unis est devenue l’évangile du droit international au point d’accuser d’atteinte au droit international les peuples qui tentent d’affirmer leur droit inaliénable à leur indépendance et au choix de leur régime politique.
La Russie a des liens étroits et historiques avec l’Ukraine. A l’agression caractérisée del’des occidentaux contre les intérêts russes et une catégorie de population russophobe Vladimir Poutine était en devoir de réagit.
Sa réaction est un modèle. Ila fait aux occidentaux une leçon de droit en établissant l’illégitimité du pouvoir de Kiev et l’illégalité de l’intervention occidentale dans la destitution du Président légitime,une leçon de politique en préservant ses intérêts et les russophobes dans la légalité démocratique et une leçonde diplomatie en écartant le risque de guerre.
C’est pourquoi l’indécente agitation de l’UE à prétendre menacée à ses frontières de l’est quand ses frontières sont une passoire contre la menace de la terreur.