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10 septembre 2016 6 10 /09 /septembre /2016 17:54

~~LE FAUX DEBAT LA POLITIQUE ET LA REALITE Dans une France à l a dérive l’élection présidentielle a révélé une pléthore de candidats. Ils affirment tous être seuls capables de rétablir une situation catastrophique. Un débat politique est indispensable pour savoir ce que sera la France de demain. Comme en 2012 les médias focalisent le débat politique sur les candidats et sur l’économie. Prétendre éluder du débat politique les problèmes qui conduisent la France au désastre est un vrai faux débat. Les médias entretiennent l’illusion du débat démocratique en créant une confusion sur la réalité présente de la France. Dans une démocratie c’est le peiple qui légitime le pouvoir. Les représentants du peuple qui forment le Parlement sont censés être les représentants du peuple souverain. L’élection présidentielle au suffrage universel a créer l’illusion que les élus du peuple étaient les élus au service du pouvoir. Le régime s’est alors articulé autour de deux partis dits artificiellement classés droite et gauche à se partager le pouvoir sans savoir pourquoi on était de gauche ou de droite Jusqu’alors l’élu pouvait gouverner avec la certitude de constituer une majorité de gouvernemen amenant la gauche et la droite à débattre de la même politique qui a conduit la France au chaos. Pour faire leur choix les électeurs ont besoin de savoir ce qu’est la politique de gauche et ce qu’est la politique de droite. Dans sa dernière allocution le chef de l’Etat a dit deux choses qui m’ont choquées qui sont révélatrice d’une politique de gauche : qu’il était favorable au droit du burkini sur les plages at qu’il était antinationalistes. Le droit à porter le burkini en France c’est marqué un certain mépris sur le droit souverain du peiple de France à choisir son mode de vie. Ignorer ou feindre d’ignorer que lorsque le droit national se confond avec la charia cette dernière a de grandes chances de devenir le droit national. Contrairement à une politique de gauche anti nationaliste une politique de droite est nationaliste. Deux concepts politiques non seulement différents mais opposés et qu’il est absurde de vouloir confondre. 2017 est différent de 2012 car un autre parti d’égal importance électoralement que les partis dits de gouvernement apparaît dans le paysage politique le FN. Quel que soit l’élu il ne pourra jamais constitué une majorité ave les élus de son parti. Sans accords partisans la France est ingouvernable. L’électeur n’a d’autre alternative d’un choix entre une politique de gauche ou une politique de droite. Si en 2012 le peuple de France majoritairement à droite a voté à gauche c’est parce que les partis dits de droite n’ont pu élaborer une politique nationale. Si pourquoi je rejoins l’appel d’Yvan Rioufol d’une union de toutes les droites sans ostracisme pour faire une politique de droite nationale/ Il serait stupide de s’enfermer dans une vanité politique d’un communautarisme partisan alors que l’ultime urgence pour la France est de retrouver sa souveraineté, son indépendance et que le peuple de France re retrouve sa souveraineté démocratique.

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7 septembre 2016 3 07 /09 /septembre /2016 16:11

~~NNON L4ISLAM N’A RIEN DE COMMUN AVEC LE JUSAÎSME ET LE CHRISTIANISME Le concept de la religion se fonde sur le principe d’établir les règles d’une vie commune. Le judaîsme et le christianisme fondent leur légitimité sur un principe spirituel commun. C’est à partir de ce principe spirituel commun que d’organise la vie commune. Dans une conférence sur la bible une conférencière disait : sans la loi juive œil pour œil dent pour dent nous ne pourrions pas vivre en société. Elle ajouta quand même. le christianisme a heureusement le pardon. Aujourd’hui comme hier ma remarque est la même : le pardon est la permission de recommencer. Certes judaïsme et christianisme se développent sur le même principe spirituel le respect de l’autre. Il n’en n’est pas moins vrai que le judaïsme et le christianisme développent des concepts différents mais pas opposés de l’homme dans la société. Cette chamaille entre Hillel et Chamaï sur lle débat de l’homme juif en diaspora ne porte pas sur l’obligation du juif à respecter la loi les mœurs et les coutu du pays d’accueil mais sur l e comportement du juif face à la situation. Inutile d’entrer dans une querelle byzantine sur la question mon propos est simplement pour dire que l’islam n’est pas une religion comme le judaïsme et le christianisme. L’islam est l’union indiscernable du spirituel et du temporel. V’est le règne du dogme. C’est la haine la plus lourde qure l’humanité n’ait jamais portée Renan On peut chercher en vain une trace se spiritualité dans l’islam. Dans tous les cas le principe spirituel du christianisme et du judaïsme le respect de l’autre fait non seulement défaut dans la spiritualité de l’islam mais il l’écarte délibérément dans sa loi fondamentale de l’islam la charia qui prescrit : Traiter le non musulman comme un être de seconde zone. Selon la loi islamique il faut être musulman dans la cité musulmane les chrétiens et les juifs sont seulement tolérés avec le statut juridique de dhimi sans droit rt à la merci de n’importe quel musulman qui tirera gloire de votre assassinat. Les juifs qui ont vécu au Moyen Orient ou en Afrique du Nord connaissent très bien quel fut leur sort sous la loi islamique. Eric Zemmour devrait lire Jérusalem de Pierre loti pour savoir comment les musulmans traitaient les juifs qui allaient en pèlerinage au tombeau des patriarches à Hébron. Pour ces raisons je trouve révoltant que l’on assimile l’islam au judaïsme mais la confusion que l’on entretien sur une définition commune de la religion est malheureusement la cause la plus profonde du chaos qui règne en occident. Un chrétien ou un juif qui veut être toléré dans la cté islamique doit faire allégeance à l’islam. C’est pourquoi le titre Allégeance de Houelbeck est approprié à la politique de lâcheté et de servitude envers l’islam.

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7 septembre 2016 3 07 /09 /septembre /2016 16:11

~~NNON L4ISLAM N’A RIEN DE COMMUN AVEC LE JUSAÎSME ET LE CHRISTIANISME Le concept de la religion se fonde sur le principe d’établir les règles d’une vie commune. Le judaîsme et le christianisme fondent leur légitimité sur un principe spirituel commun. C’est à partir de ce principe spirituel commun que d’organise la vie commune. Dans une conférence sur la bible une conférencière disait : sans la loi juive œil pour œil dent pour dent nous ne pourrions pas vivre en société. Elle ajouta quand même. le christianisme a heureusement le pardon. Aujourd’hui comme hier ma remarque est la même : le pardon est la permission de recommencer. Certes judaïsme et christianisme se développent sur le même principe spirituel le respect de l’autre. Il n’en n’est pas moins vrai que le judaïsme et le christianisme développent des concepts différents mais pas opposés de l’homme dans la société. Cette chamaille entre Hillel et Chamaï sur lle débat de l’homme juif en diaspora ne porte pas sur l’obligation du juif à respecter la loi les mœurs et les coutu du pays d’accueil mais sur l e comportement du juif face à la situation. Inutile d’entrer dans une querelle byzantine sur la question mon propos est simplement pour dire que l’islam n’est pas une religion comme le judaïsme et le christianisme. L’islam est l’union indiscernable du spirituel et du temporel. V’est le règne du dogme. C’est la haine la plus lourde qure l’humanité n’ait jamais portée Renan On peut chercher en vain une trace se spiritualité dans l’islam. Dans tous les cas le principe spirituel du christianisme et du judaïsme le respect de l’autre fait non seulement défaut dans la spiritualité de l’islam mais il l’écarte délibérément dans sa loi fondamentale de l’islam la charia qui prescrit : Traiter le non musulman comme un être de seconde zone. Selon la loi islamique il faut être musulman dans la cité musulmane les chrétiens et les juifs sont seulement tolérés avec le statut juridique de dhimi sans droit rt à la merci de n’importe quel musulman qui tirera gloire de votre assassinat. Les juifs qui ont vécu au Moyen Orient ou en Afrique du Nord connaissent très bien quel fut leur sort sous la loi islamique. Eric Zemmour devrait lire Jérusalem de Pierre loti pour savoir comment les musulmans traitaient les juifs qui allaient en pèlerinage au tombeau des patriarches à Hébron. Pour ces raisons je trouve révoltant que l’on assimile l’islam au judaïsme mais la confusion que l’on entretien sur une définition commune de la religion est malheureusement la cause la plus profonde du chaos qui règne en occident. Un chrétien ou un juif qui veut être toléré dans la cté islamique doit faire allégeance à l’islam. C’est pourquoi le titre Allégeance de Houelbeck est approprié à la politique de lâcheté et de servitude envers l’islam.

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6 septembre 2016 2 06 /09 /septembre /2016 15:38

~~REECRIRE L’HITOIRE NATIONALE POUR FAIRE QUOI ? La nation est une âme un principe spirituel. Deux choses qui à vrai dire n’en font qu’une. L’une dans le passé l’autre dans le présent. L’une est la riche possession d’un riche legs de souvenirs l’autre est la volonté de continuer la vie commune et de promouvoir le riche legs que nous avons reçu indivis….. Renan La France serait-elle une nation sans son histoire? Le jour où l’on réécrira l’histoire de France la France ne sera plus la France et ne sera plus qu’un territoire anonyme La fraternité gravée dans la devise de la République est cette grande solidarité nationale qui fonde sa légitimité sur le sentiment des sacrifices qu’on a faits et de ceux qu’on est disposé à faire encore pour continuer la vie commune. Cela suppose un passé une histoire communs et la volonté de poursuivre la vie commune. Qui n’a pas de passé n’a pas d’avenir dit-on mais celui qui oublie ou nie son passé se prépare un sombre avenir. Le passé comme l’histoire sont ve qu’ils ont été et ne peuvent se réécrire car nous ne pouvons remonter le temps pour le modeler à notre guise. Cette initiative rappelle Un u roi qui voulait changer son peuple parce qu’il ne lui plaisait pas pourquoi changer notre histoire qui fonde la légitimité de l’identité de la France. La politique de lâcheté et de servitude envers l’islam a déjà retiré la bataille de Poitiers et les croisades de nos livres d’histoire pour satisfaire la susceptibilité des musulmans qui s’invitent à la table de l’histoire de France. L’histoire de France légitime notre identité française et nourrit notre patriotisme. La question est de savoir si les millions de musulmans qui vivent en France s’identifient à vette identité française dont nous sommes fiers où s’identifient-ils à l’islam et que pour les satisfaire nos enfants doivent apprendre une autre histoire qui comprenne les lois et les mœurs de l’islam. Le jour où la pensée et la loi nationale de confondent avec la charia cette dernière ne tardera pas à devenir la loi nationale.

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6 septembre 2016 2 06 /09 /septembre /2016 15:38

~~REECRIRE L’HITOIRE NATIONALE POUR FAIRE QUOI ? La nation est une âme un principe spirituel. Deux choses qui à vrai dire n’en font qu’une. L’une dans le passé l’autre dans le présent. L’une est la riche possession d’un riche legs de souvenirs l’autre est la volonté de continuer la vie commune et de promouvoir le riche legs que nous avons reçu indivis….. Renan La France serait-elle une nation sans son histoire? Le jour où l’on réécrira l’histoire de France la France ne sera plus la France et ne sera plus qu’un territoire anonyme La fraternité gravée dans la devise de la République est cette grande solidarité nationale qui fonde sa légitimité sur le sentiment des sacrifices qu’on a faits et de ceux qu’on est disposé à faire encore pour continuer la vie commune. Cela suppose un passé une histoire communs et la volonté de poursuivre la vie commune. Qui n’a pas de passé n’a pas d’avenir dit-on mais celui qui oublie ou nie son passé se prépare un sombre avenir. Le passé comme l’histoire sont ve qu’ils ont été et ne peuvent se réécrire car nous ne pouvons remonter le temps pour le modeler à notre guise. Cette initiative rappelle Un u roi qui voulait changer son peuple parce qu’il ne lui plaisait pas pourquoi changer notre histoire qui fonde la légitimité de l’identité de la France. La politique de lâcheté et de servitude envers l’islam a déjà retiré la bataille de Poitiers et les croisades de nos livres d’histoire pour satisfaire la susceptibilité des musulmans qui s’invitent à la table de l’histoire de France. L’histoire de France légitime notre identité française et nourrit notre patriotisme. La question est de savoir si les millions de musulmans qui vivent en France s’identifient à vette identité française dont nous sommes fiers où s’identifient-ils à l’islam et que pour les satisfaire nos enfants doivent apprendre une autre histoire qui comprenne les lois et les mœurs de l’islam. Le jour où la pensée et la loi nationale de confondent avec la charia cette dernière ne tardera pas à devenir la loi nationale.

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3 septembre 2016 6 03 /09 /septembre /2016 15:44

~~DE SISCO A BETH SHAMEWH La magistrale analyse de Trigano décortique avec beaucoup de talent ce nouveau concept politique selon lequel tous ces assassins islamistes qui assassinent et massacrent les non musulmans sont des victimes d’atteinte à leur liberté et culpabilise ceux qu i refusent ve concept du doit de tuer à l’ombre de la liberté. Cette doctrine de notre temps se manifeste par les actes politiques les péroraisons médiatiques et plus encore par des considérations théoriques que les théoriciens prétendus intellectuels développent pour justifier que cette façon d’agir qui fonde la politique de l’Etat sur la lâcheté et la servitude est la meilleure et qu’il ne peut en avoir d’autre. Lorsque l’on pare le crime le plus odieux des plumes de l’innocence c’est naturellement su rl ’innocente victime qur pèse l’accusation. Je m’arrêterai cependant sur ceyye partie de l’analyse de Trigano qui dénonce avec cette confusion qui établit une similitude entre les victimes juifs et les assassins islamistes. Trigano a eu raison de rappeler que les juifs vivent en France birn avant le Moyen âge en respectant à toutes les époques les us et coutumes de la nation et en les épousant. Il a eu raison de rappeler aussi que jamais un juif atué un homme parce qu’il n’était pas juif. Ce n’est pas le cas du musulman car c’est une constante de l’islam le musulman tue le non musulman à l’ombre de la charia qui prescrit de Traiter le non musulman comme un être de seconde zo, Le rapport du général Clauzel en date du 5 juillet 1830 constate la présence de deux populations au statut juridique différent : *Les musulmans qui jouissent de tous les droits du citoyen Les juifs en oslamie sont des dhiùis des êtres sans droit : et à la merci du musulman Ce e qui est troublant c’est qu’en Europe dans son ensemble et en France en particulier la charia semble être entré dans les mœurs de la société. Il y a quelques jours Lanzman écrivait dans le Figaro : Dans un grand hôtel de Munich en consultant la liste des des indicatifs téléphoniques des Etats du monde Israël n’y figurait pas. Le Directeur de l’établissement interrogeait avoue que c’est à la demande de ses clients musulmans que la direction a imposé la suppression de l’Etat juif Israël. Il y a quelqyes jours un reportage du Figaro : Beth Shemesh et la loi des Harenguet Cette ville israélienne est soumise à la loi des Harédim nous dit l’auteur. Avec un certain mépris il nous conte qu’une dame entrée dans le bus est priée d’aller à l’arrière du bus Qu’une tenue correcte est obligatoire pour traverser la ville Qu’il est intersit de circuler en voiture le samedi.e t v…. Toutes ces mesures semblent indigner bien tous ces français bien intentionnés qui par ailleurs trouvent naturel qu’on impose aux hôtesses d’Air France le voile pour aller en Iran. A la fin du mois d’Août la population de Sisco une ville Corse s’oppose à la présence du burkini sur la plage de la ville. L’unanimité de ces biens pensants a applaudi au courage de cette population qui affirmait être chez elle et entenfre vivre comme elle l’entend/ Siscon comme Beth shemesh pendaient avoir la libertéde vivre à leur guise. Le Conseil d’Etat en a jufé autrement. Faut-il pour autant s acrifier l a liberté de la nation sur l’autel des libertés de l’islam

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3 septembre 2016 6 03 /09 /septembre /2016 15:44

~~DE SISCO A BETH SHAMEWH La magistrale analyse de Trigano décortique avec beaucoup de talent ce nouveau concept politique selon lequel tous ces assassins islamistes qui assassinent et massacrent les non musulmans sont des victimes d’atteinte à leur liberté et culpabilise ceux qu i refusent ve concept du doit de tuer à l’ombre de la liberté. Cette doctrine de notre temps se manifeste par les actes politiques les péroraisons médiatiques et plus encore par des considérations théoriques que les théoriciens prétendus intellectuels développent pour justifier que cette façon d’agir qui fonde la politique de l’Etat sur la lâcheté et la servitude est la meilleure et qu’il ne peut en avoir d’autre. Lorsque l’on pare le crime le plus odieux des plumes de l’innocence c’est naturellement su rl ’innocente victime qur pèse l’accusation. Je m’arrêterai cependant sur ceyye partie de l’analyse de Trigano qui dénonce avec cette confusion qui établit une similitude entre les victimes juifs et les assassins islamistes. Trigano a eu raison de rappeler que les juifs vivent en France birn avant le Moyen âge en respectant à toutes les époques les us et coutumes de la nation et en les épousant. Il a eu raison de rappeler aussi que jamais un juif atué un homme parce qu’il n’était pas juif. Ce n’est pas le cas du musulman car c’est une constante de l’islam le musulman tue le non musulman à l’ombre de la charia qui prescrit de Traiter le non musulman comme un être de seconde zo, Le rapport du général Clauzel en date du 5 juillet 1830 constate la présence de deux populations au statut juridique différent : *Les musulmans qui jouissent de tous les droits du citoyen Les juifs en oslamie sont des dhiùis des êtres sans droit : et à la merci du musulman Ce e qui est troublant c’est qu’en Europe dans son ensemble et en France en particulier la charia semble être entré dans les mœurs de la société. Il y a quelques jours Lanzman écrivait dans le Figaro : Dans un grand hôtel de Munich en consultant la liste des des indicatifs téléphoniques des Etats du monde Israël n’y figurait pas. Le Directeur de l’établissement interrogeait avoue que c’est à la demande de ses clients musulmans que la direction a imposé la suppression de l’Etat juif Israël. Il y a quelqyes jours un reportage du Figaro : Beth Shemesh et la loi des Harenguet Cette ville israélienne est soumise à la loi des Harédim nous dit l’auteur. Avec un certain mépris il nous conte qu’une dame entrée dans le bus est priée d’aller à l’arrière du bus Qu’une tenue correcte est obligatoire pour traverser la ville Qu’il est intersit de circuler en voiture le samedi.e t v…. Toutes ces mesures semblent indigner bien tous ces français bien intentionnés qui par ailleurs trouvent naturel qu’on impose aux hôtesses d’Air France le voile pour aller en Iran. A la fin du mois d’Août la population de Sisco une ville Corse s’oppose à la présence du burkini sur la plage de la ville. L’unanimité de ces biens pensants a applaudi au courage de cette population qui affirmait être chez elle et entenfre vivre comme elle l’entend/ Siscon comme Beth shemesh pendaient avoir la libertéde vivre à leur guise. Le Conseil d’Etat en a jufé autrement. Faut-il pour autant s acrifier l a liberté de la nation sur l’autel des libertés de l’islam

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27 août 2016 6 27 /08 /août /2016 17:05

~~DROIT JUSTCE ET LIBERTE Il n’est pas d’usage de commenter une décision de justice mais la décision d’un arrêt du Conseil d’Etat de suspendre l’arrêté du maire de Violl0e neuve Loubet nous interpelle. L’arrêt fonde sa décision sur le droit et la liberté. On peut discuter à l’infini sur la légitimité de l’institution judiciaire à interpréter le droit et la liberté mais lorsque les droits et la liberté de l’homme s’opposent aux droits et à la liberté de la nation que reste t-il de os droits et de notre liberté ? Abstraction de toute polémique une première et ultime décision judiciaire qui fait jurisprudence sans débat sur le fond est contraire au droit national et à la liberté. En droit toute décision judiciaire doit faire l’objet d’un débat et sur le fond susceptible d’in appel. La décision du Conseil d’Etat nous dit-on n’a pas de recours et n’offre aucub recours en infraction avec le droit. Le référé est une instance d’urgence qui suppose un prochain débat sur le fond. L’institution judiciaire française attribue à chaque juridiction une compétence. L a compétence du Conseil d’Etat comme de la Cour de Cassation est de juger en droit sur des décisions de justice qui serait ne pas avoir respecter le droit. La Cour de Cassation comme le Conseil d’Etat n’ont pas compétence ni à débattre ni à statuer sur des questions de fond. La saisine du Conseil d’Etat en référé est –elle conforme à la procédure ? La Procédure prévoit la juridiction qui doit être saisie encas de conflit judiciaire. Dans le cas de Villeneuve Loubet le tribunal de grande instance ou le tribunal de administratif de Nice s’imposait . La question est de savoir pourquoi c’est le Conseil d’Etat qui a été saisi et pourquoi le Conseil d’Etat a jugé conforme sa saisine. Pour le citoyen que je suis il me semble que cette décision judiciaire est entachée d’énormes écarts au regard du droit et qu’il porte une grave atteinte à la pais de la nation et à notre liberté.

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27 août 2016 6 27 /08 /août /2016 17:05

~~DROIT JUSTCE ET LIBERTE Il n’est pas d’usage de commenter une décision de justice mais la décision d’un arrêt du Conseil d’Etat de suspendre l’arrêté du maire de Violl0e neuve Loubet nous interpelle. L’arrêt fonde sa décision sur le droit et la liberté. On peut discuter à l’infini sur la légitimité de l’institution judiciaire à interpréter le droit et la liberté mais lorsque les droits et la liberté de l’homme s’opposent aux droits et à la liberté de la nation que reste t-il de os droits et de notre liberté ? Abstraction de toute polémique une première et ultime décision judiciaire qui fait jurisprudence sans débat sur le fond est contraire au droit national et à la liberté. En droit toute décision judiciaire doit faire l’objet d’un débat et sur le fond susceptible d’in appel. La décision du Conseil d’Etat nous dit-on n’a pas de recours et n’offre aucub recours en infraction avec le droit. Le référé est une instance d’urgence qui suppose un prochain débat sur le fond. L’institution judiciaire française attribue à chaque juridiction une compétence. L a compétence du Conseil d’Etat comme de la Cour de Cassation est de juger en droit sur des décisions de justice qui serait ne pas avoir respecter le droit. La Cour de Cassation comme le Conseil d’Etat n’ont pas compétence ni à débattre ni à statuer sur des questions de fond. La saisine du Conseil d’Etat en référé est –elle conforme à la procédure ? La Procédure prévoit la juridiction qui doit être saisie encas de conflit judiciaire. Dans le cas de Villeneuve Loubet le tribunal de grande instance ou le tribunal de administratif de Nice s’imposait . La question est de savoir pourquoi c’est le Conseil d’Etat qui a été saisi et pourquoi le Conseil d’Etat a jugé conforme sa saisine. Pour le citoyen que je suis il me semble que cette décision judiciaire est entachée d’énormes écarts au regard du droit et qu’il porte une grave atteinte à la pais de la nation et à notre liberté.

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25 août 2016 4 25 /08 /août /2016 17:39

~~SARKOZY ET L’IDENTITE NATIONALE L’enfer est toujours pavé de bonnes intentions. Lorsqu’un étranger intervient dans le débat et la nie politique de la nation il est indéniable qu’il change la nature de la nation. Il n’en n’est pas moins vrai qu’en France le débat et la vie politique sont dominées par les étrangers ce qui change la nature même de la nation. C’est pourquoi il est heureux que Nicolas élargisse le débat politique sur la question de notre identité nationale menacée par les interventions étrangères. Certes le regroupement familial initié par Giscard d’Estaig en 1976 a ouvert la porte à un afflux migratoire. Comme toutes les immigrations précédentes l’immigré n’intervenait pas pas dans le débat et la vie politique de la nation et s’intégrait naturellement à l’identité française. Ce n’est plus le cas depuis 1981 quand le droit du sol et la double nationalité ont changé le statut juridique de l’étranger en légitimant ses droits nationaux tout en gardant son identité étrangère. La double nationalité dépend du peincipe de réciprocité entre des nations ; Selon le droit international un étranger peut acquérir la nationalité française qu’à la condition qu’un français puisse acquérir la nationalité du pays d’origine de celui qui acquiert la nationalité française. Ce qui n’est pas le cas de l’étranger musulman qui acquiert la nationalité française. Je rappelle à cet effet les accords d’Evian signés par la France selon lesquels seuls les indigènes musulmans auraient le droit à la nationalité algérienne. Ces accords conforme à la loi islamique la charia qui prescrit : traiter le non musulman comme un être de ce seconde zonz ce qui fait du français non musulman un intrus indésirable dans un Etat islamique. Alors s’il est bon d’élargir le débat sur cette question il est peu probable que les solutions proposées par Sarkozy puisse s’attaquer àl a question de l’islam en France. En réalité les bonnes intentions de Sarkozy rejoignent à quelques nuances près les propositions de la classe politique et médiatique dans son ensemble mais ne résout pas la question au contraire elles légitiment l’illusion que le musulman est étranger à l’islam. Le politique confronté à ce problème devrait avoir une connaissance minimum du mode de fonctionnement à islamiser les peiples aujourd’hui musulmans. Ce mode est pourtant simple il siffit de faire de la charia la loi de l’Etat faisant persre à un peuple son identité nationale pour s’identifier à l’islam. La véritable question est de savoir si le musulman s’identifie à la France où s’il s’identifie à l’islam. En accordant la nationalité française aux indigènes d’Algérie en 865 Napoléon III à demander aux indigènes qui voulaient s’identifier à la France de demander par simple semande la citoyenneté française/ Il est louable d’avoir de bonnes intentions mais gouverner c’est regarfer la vérité en face et comme dit l’adage l’enfer ou plutôt le paradis islamique est pavé de bonnes intentions.

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